Le Maroc tremble sous la polémique : Cheb Bilal, le légendaire chanteur de raï algérien, se retrouve au cœur d’une controverse brûlante ! Invité à se produire au très attendu Forum national de la pomme de Midelt le 19 octobre, l’artiste est frappé de plein fouet par un appel à boycott retentissant sur les réseaux sociaux ! La raison ? Une phrase fatidique prononcée… en 2016 !
Les origines de la polémique

La Toile marocaine s’embrase après la résurgence de propos « irréparables » que le jeune homme aurait tenus sur la chaîne algérienne Echourouk il y a huit ans : « La nationalité marocaine ? J’en ferai quoi ? »
Un simple commentaire, mais qui aujourd’hui déclenche une levée de boucliers contre le chanteur. Entre posts incendiaires et pétitions virales, Cheb Bilal est désormais désigné persona non grata au Royaume voisin !
Un réel crime d’ingratitude ou manœuvre politique ?
Certains Marocains s’insurgent, affirmant que Bilal aurait « mordu la main qui l’a nourri » en reniant la nationalité marocaine malgré ses nombreuses prestations au Maroc. Des voix influentes, comme celle du journaliste Redouane Ramdani, s’élèvent pour exiger son retrait du festival : « Comment accueillir un chanteur qui a insulté le Maroc ? Un peu d’amour propre, messieurs les organisateurs ! »
D’autres y voient une coïncidence suspecte, un contre-feu visant à détourner l’attention du public des tensions croissantes entre l’Algérie et le Maroc, exacerbées par l’instauration récente du visa obligatoire pour les Marocains désirant entrer en Algérie.
Certains militants soulignent que les restrictions de visa compliquent l’accueil d’artistes algériens et dénoncent une « injustice » en lançant des pétitions pour bannir Cheb Bilal.
Les artistes algériens en danger au Maroc ?
Le célèbre chanteur de raï algérien Cheb Khaled est lui aussi sous au cœur d’une tempête médiatique en Algérie, car il est accusé d’espionnage au profit du Maroc !
Selon plusieurs sources, un mandat de recherche national a été émis contre lui par les autorités algériennes, l’accusant d’avoir transmis des informations sensibles à des responsables marocains.
Cette accusation tombe dans un contexte de fortes tensions entre l’Algérie et le Maroc, déjà marquées par des différends diplomatiques. Sur les réseaux sociaux, les réactions fusent, alimentant la polémique et ravivant les divisions entre les deux pays.





